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  • ATTIGNAT - J - 8

    DELZONGLE Sonja

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    Après quelques années universitaires sans conviction en Langues et une dernière en Lettres Modernes, Sonia Delzongle s'attaqua au concours de l'École des Beaux-Arts de Dijon, ancienne capitale des Ducs de Bourgogne où ses parents avaient élu domicile après un bref passage à Troyes, le temps de la naissance de leur fille qui devait rester unique à son grand dam. Sonia Delzongle fut reçue aux Beaux-Arts qu'elle termina avec un diplôme au bout de six ans, avant de connaître les aléas d'une vie professionnelle fluctuante, papillonnant de job en job pour pouvoir continuer à peindre et exposer. Ce parcours du combattant la mena à Lyon où elle put enfin réaliser un de ses nombreux rêves non réalisés, devenir journaliste en presse écrite. En plus d'un monde sinistré, elle allait découvrir un univers sans pitié de basses rivalités et d'ego XXL.

    Un jour sans doute plus sombre que les autres, Sonia Delzongle songea qu'elle aurait peut-être dû faire serial killer. Mais elle se contenta de lire des ouvrages sur le thème, d'écrire des romans nombrilistes et sans consistance jusqu'à cette toute petite réussite littéraire, une nouvelle devenue depuis un roman court, La Journée d'un Sniper, publié par Jacques André, un éditeur lyonnais qui signa ce qu'elle espérait et espère toujours être le début d'une gloire méritée. Elle enchaîna sur un thriller éditorial, À titre posthume qui eut son petit succès, avant de taper dans l'œil d'un éditeur de Montréal, Transit éditeur/Cogito avec, cette fois, un thriller, un vrai, bien glauque, bien noir, aussi sombre qu'un jour de pluie au Havre, Le Hameau des Purs. Désormais, Sonia Delzongle, qui a enfin trouvé sa voix, n'a pas fini de disséquer les âmes au scalpel et faire trembler les lecteurs sous les coups d'une plume acérée et impitoyable.

    « Dust »
    Quelque part en Afrique, la mort rôde...
    2010. Dans un terrain vague de Nairobi, un gamin à vélo s'amuse à rouler dans une grande flaque sur le sable ocre. Du sang humain, répandu en forme de croix. Sans le savoir, le garçon vient de détruire une scène de crime, la première d'une longue série.
    2012, à Nairobi. Une femme albinos est décapitée à la machette en pleine rue. Le tueur a emporté la tête, un bras aussi. Elle a été massacrée, comme beaucoup de ses semblables, parce que ses organes et son corps valent une vraie fortune sur le marché des talismans.
    Appelée en renfort par le chef de la police kenyane, Hanah Baxter, profileuse de renom, va s'emparer des deux enquêtes.
    Hanah connaît bien le Kenya, ce pays où l'envers du décor est violent, brûlant, déchiré entre ultramodernité et superstitions.
    Mais elle ne s'attend pas à ce qu'elle va découvrir ici. Les croix de sang et les massacres d'albinos vont l'emmener très loin dans les profondeurs du mal.

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    « Quand la neige danse »
    Février 2014, au nord de Chicago. La neige et le blizzard semblent avoir pétrifié la petite ville de Crystal Lake. Un matin, le médecin Joe Lasko reçoit un paquet. Y repose une magnifique poupée aux cheveux longs et roux, sosie de sa fille Lieserl disparue depuis plusieurs semaines. Comble de l'horreur : la poupée est vêtue exactement comme Lieserl le jour où elle s'est volatilisée.
    Ce n’est pas tout. Depuis un mois, quatre fillettes ont été enlevées, et chacune des familles va recevoir une poupée. Joe, jeune divorcé, décide de mener sa propre enquête, aidé par une détective privée dont il était secrètement amoureux des années plus tôt. Conscients que l'affaire les dépasse, tous deux appellent à l'aide Hanah Baxter, la célèbre profileuse, et son inséparable pendule. Quelque part dans Crystal Lake, depuis très longtemps, quelqu'un s'en prend aux enfants. Les détient-il prisonnières? Sont-elles encore en vie?

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    « Récidive »
    Saint-Malo, hiver 2014. Du haut des remparts, sorti de prison, Erwan Kardec contemple la mer en savourant sa liberté. Il y a trente ans, il a tué sa femme à mains nues, devant leur fille, Hanah. Jamais il n’aurait été démasqué si la fillette n’avait eu le courage de le dénoncer. Malade, nourri d’une profonde haine, il n’aura de cesse de la retrouver avant de mourir.
    À New York, au même moment, Hanah, qui a appris la libération de l’assassin de sa mère, est hantée par le serment qu’il lui a fait de se venger. De cauchemars en insomnies, son angoisse croît de jour en jour. Pourquoi a-t-il tué sa mère? Quand surgira-t-il? Quels sont ces appels anonymes?
    La confrontation est inévitable.
    Quand on est traqué, mieux vaut-il se cacher, ou regarder la mort dans les yeux?

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    REVAY Thérésa

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    Theresa Révay, dans La vie ne danse qu’un instant, guide les lecteurs à travers le monde de la Seconde Guerre Mondiale. Alice Clifford, correspondante de guerre du New York Herald Tribune, navigue avec brio entre les jeux de pouvoir, la propagande et le totalitarisme, de l’Italie à l’Égypte en passant par l’Allemagne.
    Cette héroïne, à la fois forte et tourmentée, suscite le respect et l’admiration. Jonglant entre la passion et ses convictions, elle frôle la mort à plusieurs reprises. Une manière à elle de se sentir vivante, du moins de se convaincre qu’elle est vivante. Theresa Révay a réalisé un magnifique portrait d’une femme attachante, oscillant entre l’espoir, l’honneur, le devoir et le sacrifice. Une femme à la poursuite de sa liberté, qui, au final, peut être perçue comme une fuite en avant, désireuse d’échapper à son passé. Passé qui malgré tout a forgé la femme qu’elle était, indépendante et moderne pour cette époque.
    Ce roman est un magnifique kaléidoscope d’une époque et d’une femme, qui conjointement se sont nourries l’un de l’autre. Laissez-vous porter par la douce et élégante écriture de Theresa Révay ! Hissez les voiles, un vent de liberté souffle sur cette lecture !
    Publié par Audrey Lucido, le 04 septembre 2017 (http://lemondefabuleuxdaudrey.fr)

    « La vie ne danse qu’un instant »
    Rome, 1936. Alice Clifford, la correspondante du New York Herald Tribune, assiste au triomphe de Mussolini après sa conquête de l’Abyssinie. Sa liaison avec Don Umberto Ludovici, un diplomate proche du pouvoir fasciste, marié et père de famille, ne l’aveugle pas. Son goût pour la liberté l’empêche de succomber aux sirènes des dictatures.
    La guerre menace, les masques vont tomber. Alice découvre les conspirations qui bruissent dans les couloirs feutrés du Vatican et les rues ensanglantées de Berlin. Son attirance pour un journaliste allemand au passé trouble révèle les fêlures de son passé. Si l’aventurière ne renie jamais ses convictions de femme moderne, toute liberté a un prix. Jusqu’où ira-t-elle pour demeurer fidèle à elle-même ?

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    « L’autre rive du Bosphore »
    1918, la guerre se termine et les frontières se redessinent. Traversée par le Bosphore, Istanbul est déchirée entre Orient et Occident. Désormais aux mains des Alliés, la ville mythique devient plus que jamais un carrefour cosmopolite.
    Leyla, jeune épouse d'un secrétaire du sultan, élevée selon les coutumes ancestrales, assiste impuissante au démantèlement de l'Empire ottoman. Mais la résistance s'organise.
    En la rejoignant, Leyla va s'engager dans la plus belle et dangereuse des luttes : celle pour l'amour, l'indépendance et la liberté.

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    MAGRAS Sylvie

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    Toute petite, j'étais passionnée par la lecture, toutes catégories confondues. J'ai commencé par les livres de science fiction, les livres policiers, les romans. Chemin faisant, j'ai découvert la grande littérature française, principalement Emile Zola, qui reste mon référent en matière d'écriture, avec ce point du détail. Jamais je ne pensais écrire un jour, c'est pour les autres, j'ai toujours pensé, je ne suis pas une grande littéraire, et puis l'idée me trottait, tenter l'aventure en commençant par « Les beaux souvenirs ne meurent jamais », souvenirs vécus, mais aussi romancés, imaginés autour de la maladie d’Alzheimer. Certes, je n'arrive pas à la cheville de Zola, mais j'ai décidé de me lancer.

    « Les beaux souvenirs ne meurent jamais »
    Sylvie, dame de compagnie, s'occupe de Rosye 89 ans, vieille dame très curieuse et remplie d'humour. Son mari Robert, 90 ans, s'adonne à sa passion, le jardinage. Hors de question de finir leurs jours en maison de retraite, comme le souhaiterait leur fille unique, Hélène. Cependant, les pertes de mémoire de sa mère commencent à l'inquiéter. De plus, il semblerait que Rosy cache au plus profond d'elle-même un lourd secret. Ce roman est pétri de tendresse, de tristesse parfois, mais d'humour également.

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    « Juste en vie »
    Sarah Delfosse, brillante journaliste, est convoquée un matin dans le bureau du patron. Il lui annonce brutalement sa mise à pied pour faute grave. Elle ne comprend pas. En deux minutes, tout bascule. Espérant trouver refuge dans son couple, elle désenchantera rapidement face à la violence d’un mari alcoolique. La fuite restera son seul moyen. Comment sans sortir sans avoir à subir l’humiliation de l’assistance et sans aucun soutien financier ? Comment survivre dans la rue lorsqu’on est une femme ? Vivre, survivre, une lutte de tous les instants à laquelle personne n’est préparé. Une lente descente aux enfers.
    Puis un soir d’hiver, sans aucune énergie, paralysée par un froid hivernal, elle glissera lentement dans les ténèbres fixant le ciel rempli d’étoiles…

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    « Plus forte que la douleur »
    L’annonce de la maladie d’un enfant est toujours un choc, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’une pathologie trop mal connue.
    Allez savoir pourquoi la scoliose n’intéresse que peu de monde, pourtant elle touche beaucoup plus de personnes que l’on ne croit, enfants, adolescents et adultes, car elle dure toute la vie et s’aggrave progressivement, de façon inexorable dans bien des cas.
    Le combat de Camille commence, elle a douze ans en 2004 et bien décidée à ne pas baisser les bras devant Mme scoliose.

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    « Souviens-toi, Clara »
    Clara se réveille en sursaut. Il fait noir. Est-elle en train de rêver, de faire un cauchemar ? Elle n’a pas la moindre idée. Que fait-elle dans cet endroit ? Cette odeur d’hôpital, elle connait bien. Mais que fait-elle ici ? Il y a quelque chose d’inhabituel. Elle ne comprend pas. Tout lui semble irréel. Elle a un mauvais pressentiment.
    Pour le lieutenant Cruz, de la gendarmerie de Vence dans les Alpes maritimes, Clara a été victime d’une tentative de meurtre. Son matériel d’escalade a volontairement été saboté. Son seul témoin, amnésique, ne l’aide guère à avancer dans son enquête. Mais voici qu’une autre mort survient, puis encore une autre. L’entourage de Clara est-il menacé ?

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    « L’ange de la mort »
    Sandrine Lefort, infirmière en unité de soins palliatifs est retrouvée pendue au centre hospitalier d'Avignon. Sa soeur Stéphanie, malgré les révélations contenues dans le journal intime de la défunte, ne croit pas à la thèse du suicide et encore moins à la perfidie assassine de son aînée. Au fil des pages, les confidences de la jeune infirmière dévoilent le nom de sa première victime et seulement quelques indices pour les autres. Où est la vérité ? Qui est le véritable assassin ? Le message post-mortem est manifeste : « Depuis que je suis jeune, je me complais à voir des gens mourir. Je ressens une joie sadique à tuer ». Une nouvelle enquête pour le lieutenant Cruz dont la sagacité doit conduire à l'identification des victimes de la présumée meurtrière...

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    « La nuit du talion »
    Une affaire peu banale : la disparition d'un officier de gendarmerie ! Enlèvement, règlement de compte, crime ? En Avignon, la brigade du lieutenant Cruz a été renforcée pour mener à bien les investigations. L'inquiétude est à son comble lorsque les enquêteurs sont confrontés à la découverte d'un cadavre près du palais des Papes ; celle-ci est suivie de plusieurs assassinats. Que signifie le message du criminel ? Pourquoi un tel enchaînement meurtrier ? Vers quelle douloureuse vérité les fins limiers de la gendarmerie seront-ils conduits ? La nouvelle enquête du lieutenant Antonio Cruz est troublante, insolite et originale. Un suspense exaltant !

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    « Festival de coupables »
    La détenue Maria Martinez est retrouvée carbonisée dans sa cellule. La thèse du suicide vite conclue par l’Administration Pénitentiaire s’oppose à la pugnacité du lieutenant Cruz d’autant qu’un lien semble se dessiner avec l’assassinat d’une inconnue dans la grange du Mas de la musique… Des rituels sectaires et de troublantes similitudes entre les deux affaires intriguent les enquêteurs. L’équipe d’Antonio Cruz va de surprises en surprises…
    Avec Festival de coupables, les enquêtes du lieutenant Cruz, la sé ::rie imaginée par Sylvie Magras Hautmont s’enrichit d’un quatrième volet. Un polar fort, poignant avec de formidables personnages : le lecteur sera captivé !

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    « Le salon du crime »
    Moment de rencontre et de convivialité, le salon du livre de Plan d'Orgon (13) tourne au cauchemar avec une prise d'otages, parmi lesquels est séquestré un brigadier de gendarmerie.
    Devant cette situation d'urgence, le lieutenant Antonio Cruz, responsable de la Brigade Territoriale Autonome d'Avignon, renonce à son week-end de détente et monte dans le train Paris-Marseille. Celui-ci sera immobilisé sur le plateau de Langres suite à une panne de la rame. La découverte de cadavres dans les wagons compliquera la situation.
    Un lien existe-t-il entre ces deux événements ? Une nouvelle alambiquée pour l'officier de gendarmerie dont la pugnacité n'est plus à prouver.

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    MOREL-LAB Yvon

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    « Simple passé, loin d’être plus que parfait »
    L'esprit s'envole, La main s'active, Griffonne, Le papier crisse, La critique s'éveille, La raison raisonne, La pensée libre s'épanouit Et non celle du libre penseur ! La corbeille à papier est là, Le texte y échappe, Quelquefois ! Une chance pour vous, pour moi ? Ce sera à vous de le dire.

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    « Si seulement »
    Pourquoi ai-je écrit ce roman ? À cause d'une vieille histoire qui trotte dans ma tête depuis l'enfance : à la fin de la guerre, je voyais les soldats allemands chercher davantage à se sauver qu'à se battre. Ils voulaient partir vite et fouillaient les maisons à la recherche de moyens de transport. Quand un matin ils sont entrés chez nous et que ma mère a voulu les empêcher d'atteindre le grenier où se trouvait notre vélo, un soldat l'a menacée de sa mitraillette. L'après-midi, furieux du vol de ma bicyclette et traumatisé par l'agression, je me suis assis à l'entrée de notre immeuble, en plein centre-ville, et je tirais une langue la plus longue possible aux hordes de soldats affolés qui passaient devant moi. Ma mère m'a surpris et m'a giflé. C'était ma première claque. Depuis, j'ai toujours conservé le regret, non de la claque, mais d'avoir été beaucoup trop jeune à l'époque pour participer à la résistance. Il ne me restait qu'à l'imaginer.

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    PATY Jeanne

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    Auto Editrice
    Recueils de poésies en 1994 "L'Amour et ses cicatrices"
    en 1996 " Gènes et Rations d'Amour"
    Novembre 2015 : "Les Larmes de ma Plume"
    Décembre 2015 : "Petits bonheurs et gros chagrins" (VECU)

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    VIDOR-PIERRE Bénédicte

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    J’ai fait des études de philosophie jusqu’au doctorat puis de Lettres pour travailler la question de l’écriture dans le nouveau roman et de la polyphonie. Je suis donc enseignante en philosophie et je vis dans le quartier de la Croix Rousse à Lyon.
    Je suis très sensible à ce que Platon nommait le baptême philosophique comme le fait d’accepter de repartir à zéro, de même qu’au « Doute » cartésien et à cette « époché » comme mise en suspens comme si l’on pouvait parfois se retirer du monde et devenir simple observateur.
    Dès lors, j’écris, et chaque roman est un nouvel univers, d’autres vies et une nouvelle approche de moins en moins manichéenne et de plus en plus bienveillante à l’égard d’autrui mais aussi et surtout de soi même.

    « Syndrome O »
    En visitant un zoo il y a quelques années, j’ai découvert un gorille dénommé Platon. Celui-ci était assis derrière une grande vitre, et là j’ai été saisie par son regard et sa posture, il semblait réfléchir, comme triste. Une famille est arrivée à côté de moi puis s’est mise à sauter sur place en poussant des grands « ouh, ouh » pour imiter les singes. Nul besoin d’en décrire davantage ! je me suis alors penchée sur les derniers travaux des primatologues car j’ai toujours eu la sensation que la frontière Homme-Animal était bien plus ténue que cela, à l’instar des idées reçues et des certitudes judéo-chrétiennes et cartésiennes. Dès lors, la question de l’âme et du corps consubstantiel de l’humain étaient à ré-intérroger à la lumière des étonnantes capacités des grands singes qui non seulement peuvent acquérir un étonnant bagage lexical via le langage des signes mais aussi peuvent accéder à une pensée de la finitude en appréhendant la mort dans son éternité. Dès lors, il est aisé de comprendre que nos catégories sont bousculées et qu’il s’agit à présent de réinventer une place à l’humain, et si la place de l’homme était de mettre l’homme à sa place ? Spécisme, question du décalage avec le monde qu’engendre la conscience, question du sens de la vie qui pourrait s’identifier à celle d’une justification à vivre….

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    « Porte de sortie »
    C’est un amour fou. Un amour trop grand, trop fort, trop beau pour être vrai. Un amour absolu qui effraie, tant il absorbe la vie, la métamorphose, et fait exploser dangereusement le quotidien.
    L’écriture libre de Bénédicte Vidor-Pierre épouse le rythme de la pensée de son héroïne, fait la part belle à l’invention et met en forme, symbiotiquement avec son sujet, les méandres inquiétants d’une créativité débridée.
    Troublés, emportés, témoins bouleversés d’une descente aux enfers pavée d’explosions sensuelles et d’interrogations sur l’essence de la création, nous sommes toujours dans le doute, dans l’espoir, dans le flou, avides de démêler le réel de l’imaginaire, et c’est là que réside un des plaisirs de lecture de ce beau roman souvent trouble, parfois limpide, mais toujours éclairant.
    En visitant un zoo il y a quelques années, j’ai découvert un gorille dénommé Platon. Celui-ci était assis derrière une grande vitre, et là j’ai été saisie par son regard et sa posture, il semblait réfléchir, comme triste. Une famille est arrivée à côté de moi puis s’est mise à sauter sur place en poussant des grands « ouh, ouh » pour imiter les singes. Nul besoin d’en décrire davantage ! je me suis alors penchée sur les derniers travaux des primatologues car j’ai toujours eu la sensation que la frontière Homme-Animal était bien plus ténue que cela, à l’instar des idées reçues et des certitudes judéo-chrétiennes et cartésiennes. Dès lors, la question de l’âme et du corps consubstantiel de l’humain étaient à ré-interroger à la lumière des étonnantes capacités des grands singes qui non seulement peuvent acquérir un étonnant bagage lexical via le langage des signes mais aussi peuvent accéder à une pensée de la finitude en appréhendant la mort dans son éternité. Dès lors, il est aisé de comprendre que nos catégories sont bousculées et qu’il s’agit à présent de réinventer une place à l’humain, et si la place de l’homme était de mettre l’homme à sa place ? Spécisme, question du décalage avec le monde qu’engendre la conscience, question du sens de la vie qui pourrait s’identifier à celle d’une justification à vivre…

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    ROMY Beatrice

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    Béatrice Romy est née au Creusot. Elle réside à Beaune depuis plus de 20 ans.
    Ses ancêtres sont de Santenay et Beaune ou l’histoire prend ses racines.
    Tellement de chose à raconter qu’elle en a fait un livre … Son livre … ou elle prévient << Je n’intéresse personne mais mon histoire est hors du commun, c’est ma vie >>
    Une succession d’épreuves inimaginables qui me font poser la question : Payons- nous le Karma de nos ancêtres ?


    « Une vie hors du commun »
    Je pense à Céline mon arrière grand –mère, qui très jeune a perdu son mari et ses trois enfants, je pense à Honorine ma mère orpheline à onze ans et à moi, Béatrice et mon histoire. J’ai gardé une force et une spiritualité pour aider les autres, une forme de philosophie et de sagesse.

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    « Mon mystérieux chemin de cartes »
    Ce questionnement à travers mes expériences et la découverte de la voyance qui m’ont amené à ce chemin de cartes, je vous confie ici la découverte de ma spiritualité, mais aussi mes rêves prémonitoires, les phénomènes paranormaux que j’ai vécus.
    Ma rencontre dans les années 80 avec « BELLINE », voyant international, auteur de « LA TROISIEME OREILLE » (livre qu’il m’a offert).
    Ce qui fut déterminant pour comprendre mon destin et me révéler ma mission pour aider les autres et comprendre mon karma...

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    « Voyage sans retour de Joachim »
    Joachim le breton, c’est mon grand-père, le père de ma mère. Son destin se jouera en 1919 lorsqu’il épousera Germaine, ma grand-mère. La mésalliance le conduira à son exclusion dans cette famille décimée, où seules règnent les femmes. La mort de son épouse à l’âge de 39 ans, sera pour Honorine leur fille, le déclencheur d’une haine profonde qui le mènera à l’oubli.

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    « La vie en couleurs pastel »
    Après l’écriture de 3 livres, l’auteur a fait une pause en réalisant des dessins. Loisir qui lui plaît depuis son enfance. L’encouragement et la réaction positive de nombreux amis, lui donnèrent l’envie de créer ce recueil. Les thèmes abordés sont réalisés avec sa spontanéité et sa sensibilité. Le plaisir de partager des textes sur une vingtaine de Pastels. Le choix de chacun fut, selon leur ressenti, sous forme de message d’amitié.

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    PETTINI Laetitia

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    Laetitia Pettini écrit des livres pour les enfants.
    L'aventure, l'amitié et l'humour s'invitent dans chacune de ses histoires.

    « Derrière la cascade »
    C'est l'histoire de l'intrépide Lucie-Loup et de sa copine Charlotte qui décident de partir à la recherche de leur meilleur ami Sam mystérieusement disparu. En chemin, elles découvrent une cascade au pouvoir étrange, espionnent un couple de journalistes sans scrupules et affrontent un adversaire qui leur donnera du fil à retordre.
    Derrière la cascade, c'est aussi le récit d'une aventure drôle et pleine de rebondissements. C'est une véritable amitié qui anime les relations des personnages principaux, même si parfois quelques disputes donnent du piment à leurs échanges.

    « Saveur… mensonge et contrebande »
    1 pincée d’or fin
    1 bouquet de malfaiteurs
    1/2 cuillérée de malchance
    Voilà comment Marceau Martin, jeune chef de talent sélectionné pour un grand concours international de cuisine, pourrait décrire l’aventure dans laquelle il est embarqué en arrivant sur le sol colombien. Au cours d’un séjour très mouvementé, Marceau et sa sœur Pernille, se retrouvent au cœur de l’enquête sur le vol de la pièce fétiche du Musée de l’Or, la Balsa de la ofrenda. Ils rencontrent Juan, ado colombien branché mais bourré de TOC et Aluna, jeune indienne Kogi et chamane à ses heures perdues. Tous les quatre vont mettre leur talent et leur courage en commun pour retrouver la Balsa et démasquer les coupables. Du centre de Bogotá au collège Français Gaston Lenôtre, ils n’hésitent pas à détourner la vérité et à imposer leurs règles dans un jeu de poursuites risqué. Une enquête où les adultes ne sont pas toujours garants de la moralité.

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    « Antho noire… pour nuit de pleine lune »
    La forêt est profonde.
    La nuit est là. Au loin, des loups hurlent.
    Seule la lune, bien ronde, bien pleine, luit...
    Chut... Il ne faut pas faire de bruit pour écouter ce que nos auteurs ont à vous conter. Rejoignez-les, ils vous attendent avec leurs histoires à frissonner. Qui sont-ils ? Découvrons-les ! Il y a :
    Laetitia Pettini avec "Cherche équipier désespéremment"
    Patrick Godard avec "Coup de lune"
    Frédéric Gobillot avec "La boîte à démons"
    Marie Maillard avec "La lumière d'Ortague"
    Marie H Marathée avec "Le secret de la forêt"
    Hélène Duc avec "Le sortilège du Patapaf"
    Audrey Calviac avec "Méfiez-vous des chats"
    ... plus quelques élèves de l'école primaire de Varzy qui vous offrent un Bonus !

     

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