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  • Des nouvelles de l'affiche du Salon

    Alors, au départ, ce fut une couverture d'un de mes bouquins:

    Petites histoires sanguinolentes de nos campagnes.jpg

    Mais voyons voir un peu comment elle est née...

    _______________________________________________

     

    Comment est née l'affiche du Salon ?

    Une…
    Une encore…
    Et puis une autre…
    Et ainsi de suite… Monotone… C’en est presque pénible…
    Heureusement, pendant ce temps, il a le temps de gamberger… c’est l’avantage… Au temps qu’il fait, aux prochaines vacances… à l’inspecteur des impôts –pourquoi pas ?-, à ce qui pèse sur l’estomac…
    Une…
    Une merise de plus… qui passe entre ses doigts, lesquels l’écrasent sans remords pour expulser le noyau !
    Une autre… même chemin… du panier de cueillette aux doigts qui la triturent, la martyrisent pour atteindre le petit machin dur qui finit au fond du premier saladier, alors que le second accueille la pulpe.
    Une autre…
    L’esprit s’évade, se fait des films, rêvasse, va par monts et par vaux, se fraie un chemin entre toute une foule d’idées plus ou moins sérieuses, ou bizarres, ou encore rigolotes, souriantes, et parfois horribles…
    Il aime bien ce qui est horrible…
    Une autre…
    Et puis encore une…
    Stop ! Soudain ! L’illumination… Son prochain bouquin a besoin d’une couverture… qui accroche ! Et pour présenter des Histoires Meurtrières des contrées bressanes, on ne peut pas mettre une image de petits oiseaux qui gazouillent dans les prés tandis que les blés blondissent au soleil… Ce ne serait pas sérieux et démontrerait que l’auteur fait n’importe quoi ! Non, il faut que l’emballage soit à la mesure du contenu. Un laitier renommé fabricant de camembert n’illustre pas sa boîte d’une gamine qui mord en souriant dans une tartine de confiture ! Ce serait contre productif, le bide total et absolu… Avec un zéro pointé en marketing de vente !
    Non ! Il faut quelque chose qui attire le lecteur, qui lui donne envie de se plonger dans le livre…Histoires meurtrières… Histoires meurtrières… Qui dit meurtrières, dit que ça va peut-être, et sans doute, saigner… Un meurtre reste un meurtre, donc on a bien un meurtrier et une victime, un assassin et un assassiné, ou une assassinée… Normal, logique, quasi obligatoire… On ne commet pas un meurtre sans casser des œufs ! On ne commet pas un crime juste pour faire joli dans le paysage !
    Une autre merise…
    Et puis encore une…
    Bon sang ! Cela en fait combien ? Beaucoup… Cela s’empile dans le saladier… Le jus dégouline sur les doigts… Rouge… Rouge… C’est…
    Bon sang, mais c’est bien sûr !
    L’idée jaillit, s’agrippe aux neurones du dénoyauteur… Etincelante… Aveuglante… Meurtre égale sang, sang induit la couleur rouge…
    Et ça dégouline, le jus de merise comme le sang du meurtre… et ça s’étale, le rouge du fruit au fond su récipient comme la vie de la victime sur le tapis !
    Une autre… Une autre…
    L’idée germe, éclabousse la cervelle de notre bonhomme, la cervelle de notre écrivain !
    Il arrête tout, brusquement. Ne jamais attendre que l’idée ait envie de s’enfuir, de se diluer, de s’envoler vers des cieux où d’autres pourraient la saisir au vol.
    Il se lève, se rince les mains sur l’évier, sèche tout cela avec un torchon, et file à travers la maison. Jusqu’à son bureau, son antre, son joyeux bazar désorganisé. Il se saisit de son appareil photo.
    Retour au pas de course sur le lieu du crime… pardon… sur la scène de dénoyautage.
    Il s’assied, ouvre sa main devant d’objectif, à quelque soixante centimètres de son visage. Mise au point avec l’appareil, autofocus enclenché pour que cela soit net instantanément, sans être dans l’obligation de souiller la bague de netteté. Puis… direction le tiroir des couverts, prélèvement d’un long couteau à manche noir et lame brillante.
    Retour à la case saladier, sans passer par la case départ et sans toucher le pactole !
    Et une…
    Et deux…
    Et encore une autre… plusieurs à la suite.
    Une brève plongée dans la pulpe du saladier récepteur, pour recouvrir la main de jus dégoulinant, de chair de merise vermillon. Le regard du connaisseur, de ceux que l’assassin pourrait jeter. Un hochement de tête. Tout est parfait.
    Il se saisit du couteau. Bien en main, il le brandit avec un sourire carnassier.
    De son autre main, la gauche, il prend l’appareil photo fermement. Pas évident pour un droitier… Pas le choix… Visée soignée… Clic et clac… Quelques clichés en rafales pour avoir diverses positions de cette main assassine. Cela doit être bon…

    DSC_0018.JPG

    Il repose l’appareil hors de portée des éventuelles giclée de jus de fruit.
    Et une…
    Et une autre…
    La litanie reprend, bien qu’il piaffe de voir le résultat de sa prise de vue, du shooting comme on dit dans les milieux autorisés un peu snobs.
    Et une…
    Et… Et…
    Génial, il n’y a plus de concurrentes dans le panier. Juste le temps d‘égoutter le jus mélangé aux noyaux orphelins. Tout mélanger avec une part de sucre un peu moins importante, et tout jeter dans la bassine à cuire. Il met tout cela sur la plaque de cuisson, lentement, sans bouillir ; La confiture, on la cuit doucement. Il faut expulser l’eau en trop pour qu’elle soit ferme et onctueuse quand même.
    Passons, tel n’est pas le propos de développer ici une recette de confiture de merises.
    Il met à feu doux et fonce vers son bureau, connecte l’appareil photo à l’ordinateur, visionne les clichés sanglants… Tous sont nets… Il choisit celui qui lui semble le meilleur, le plus apte à fournir une belle couverture.
    Il le charge dans son logiciel de retouche…

    DSC_0022.JPG


    Et là, il s’abîme dans le travail long et fastidieux de correction de l’image. En Bresse, on dirait un boulot bezin ! Pixel après pixel, il détoure la main sanglante, ainsi que le couteau réduit à un filet de plus en plus mince. Un trait noir d’épaisseur variable enferme bientôt la photo...

    DSC_0022-3.jpg

    ... avant de tout faire disparaître de l’arrière plan en utilisant l’outil « pinceau large » ! Pour obtenir en fin de compte un fond d’une noirceur à mettre du vague à l’âme au premier macchabée venu, ou au premier fantôme à s’aventurer dans les parages !
    Un saut vite fait en direction de la cuisine pour vérifier la confiture qui embaume de plus en plus la maison, et retour sur la machine…

    DSC_0022-2.JPG


    Une bonne mise en page, quelques pavés de texte en gras et en rouge et le tour est joué.
    Ou comment une main barbouillée de confiture de merises s’est transformée en main assassine capable de faire sa fête au premier individu venu…
    Il est assez content de lui…
    « Oui, cela fera une belle couverture et peut-être un jour… une belle affiche !

  • ATTIGNAT - SALON à J - 17....

    Ce matin, Jacques Bruyas, initiateur et premier "père" de l'Inspecteur Bonnier, notre invité d'honneur masculin, a tiré le premier sur Facebook en annonçant les volumes sortant pour ce Salon (trois au total).

    Alors, allons-y... Voyons un peu les auteurs qui ont sévi dans la case "Bonnier"... et qui seront là le 8 octobre.

     

    Jacques Bruyas

     

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    Né le17 juillet 1950 à Lyon 4eme dans un milieu artistique (son grand-père Francisque Pomat est un des créateurs du salon Regain, peintre de l'école Lyonnaise reconnu et acquis dans de nombreux musées nationaux).Son père Jean Bruyas était professeur aux beaux-arts de Lyon et membre fondateur du Groupement des artistes du Beaujolais, de la République du gros Caillou avec Brouillard, Combet-Descombes, Niogret, Dulac, Dejean...).

    Après un bac littéraire puis des études de lettres et d'histoire-géographie, Jacques Bruyas s'oriente vers l'enseignement...

    Très engagé dans la vie culturelle Lyonnaise, il assume la responsabilité du secrétariat général de L'Association pour le rayonnement des livres Rhônalpins, et il est membre de plusieurs commissions municipales ou extra-municipales de la culture.

    Membre de nombreuses confréries et d'Associations Lyonnaises du bien vivre et du bien manger, Jacques Bruyas est officier du mérite Lyonnais (ordre du clou), baron de L'Ile barbe, il fut pendant trois ans ministre de la culture de la république des Canuts (correspondant à la république de Montmartre à Paris), et est depuis dix ans secrétaire perpétuel de l'Academie de la Grande'côte et du Gros Caillou (pendant de la docte Académie du Gourguillon et des Pierres Plantées).

    Jacques Bruyas est encore Président des Amis de Justin Godart (Ministre, sénateur, maire de Lyon), secrétaire géneral du Cercle Clémenceau et Président de l'Association Orient-Méditerranée.

    Outre ses activités d'auteur, Jacques Bruyas s'est lancé en 2003 dans l'édition

     

    Quelques livres parmi de nombreux autres.

    Le dernier Bonnier, exclusivité "ATTIGNAT"

    "Le Noir dans le Rouge"

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    « Le Petit Prince est revenu » - Editions Préface - 1979 - 96 pages.

    « Larochetard » - Préface de Georges Simenon - Editions du Fleuve - 1981 - 202 pages - réédité sous le titre de L'Homme aux bottes de glaise.

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    « Prince d'Orient » - Editions Mot Passant - 2001 - 160 pages.

    « La semaine du Kémo » - Editions Mot Passant - 2001.

    - Edouard Hérriot - Biographie - Editions Horvath - 1985 - 220 pages.

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    - Histoire des hommes célèbres du Lyonnais - Editions Elie Bellier - tome 1 - 1985 - 240 pages - tome 2 - 1986 - 340 pages - Editions Rouville.

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    Alain Babanini

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    École communale d'abord, puis à 10 ans, c'est au collège Neyret qu'il terminera sa scolarité avant d'entrer dans une école d'apprenti mécanicien à Saint-Mandrier dans la Marine Nationale, institution où il ne fera qu'un court séjour n'étant ni doué pour la mécanique ni pour la discipline militaire.
    Devenu marinier, il naviguera sur le Rhône, la Saône et la Seine jusqu'à son mariage à 18 ans et son arrivée au Bois-d'Oingt dans la maison de ses beaux parents qu'il habite toujours. Devenu cantonnier à la DDE il adhère rapidement au PC, passe son bac à 25 ans avant de devenir en 1972 instituteur suppléant au CES Jean-Moulin de Vénissieux, puis par la suite remplaçant à Villié-Morgon jusqu'en 1979.
    Après un stage d'an à l'École Normale de la Croix-Rousse pour une formation d'enseignant pour les enfants en difficultés, il terminera sa carrière à l'Institut Médico-Pédagogique de Theizé jusqu'à sa retraite à 59 ans, année où son envie d'écrire peut enfin se concrétiser, raison pour laquelle il commence à coucher sur le papier une enquête du commissaire Bastianini.

    « Puisque ça ne suffit pas ! » est un polar de 300 pages édité par Édit Livre qui, intuition d'un auteur doué, parle du terrorisme djihadiste. Un flic de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) prendra ensuite la relève de Bastianini pour Le collecteur des quotidiens enquête sur un tueur des pentes de la Croix-Rousse. C'est l'obus qu'on n'entend pas qui tue sera aussi le titre d'un de ses romans, le 8 e, l'auteur étant entré de nouveau en écriture pour son 9 e ouvrage, une histoire politiquo-policière.

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    « Nous n’irons plus au bois »
    « Précédé par le gendarme, Bonnier arriva aux cadoles. Ces bâtiments montés en pierres sèches en encorbellement par les bergers pour se protéger des orages constituaient comme un enclos qu'ils délimitaient. Le corps avait été déposé dans une des cabanes, celle du clos au toit vaguement pyramidal, adornée d'une petite ouverture comme une fenêtre à côté du linteau de l'ouverture. Sanlaville, un des plus acharnés à promouvoir le tourisme dans cette région des Pierres dorées, avait été lapidé avec ses chères caillasses. De sa tronche ne subsistait qu'une bouillie. Un oeil, encore accroché par un filament, pendait sur ce qui avait été une joue mais n'était plus qu'une plaie béante à travers laquelle on distinguait les molaires et les canines du notaire, si fier de sa dentition qu'il souriait à tout bout de champ sans raison aucune. La Sécu perdait en lui un sacré bénéficiaire ! »
    ACCROCHEZ-VOUS ! Dans cette septième enquête, l'inspecteur Bonnier s'attaque à une série de meurtres sanglants. À deux pas de Larochetard, près du village du Bois d'Oingt, les notables tombent comme des mouches...

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    « La purée dans la mousseline »
    Cette fois-ci, Bonnier se retrouve du côté de Tarrare. La mousseline, c’est d’abord un tissu de coton très fin, qui donne un effet vaporeux. Elle s’est répandue en France au XVIIIe siècle grâce à Georges-Antoine Simonet, originaire de Tarare. Et c’est à Tarare que la mousseline sera fabriquée pour la première fois industriellement. Elle fera la réputation de la ville. Mais ce jour-là, la mousseline sera en deuil, et Lucien Bonnier à la tâche pour découvrir l’assassin…

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    François Riche

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    François Riche est journaliste auteur photographe. Il collabore principalement pour la presse régionale et nationale, dans les domaines de l’économie, de la culture et de la détente.
    Formé aux métiers du livre, de la presse écrite et de la presse parlée, il a débuté au Progrès, à Lyon Matin, au Journal Rhône-Alpes , ainsi qu’à Métal Hurlant.
    Co-fondateur de H2 Ondes, il en a dirigé l’info. Pour cette radio, il a par ailleurs produit et animé pendant plus de trois ans En Terre étrangère, une émission sur la bande dessinée, la science-fiction, le fantastique et le cinéma, avec chaque semaine l’interview en direct d’un auteur. En Terre étrangère prenant de l’importance et étant bien cotée auprès des auteurs et des éditeurs, elle rejoindra le Réseau de l’Aventure pour diffuser la première bande dessinée radiophonique : La loi et Claude Dallas du dessinateur Luc Cornillon avec, entre autres, au micro Philippe Manœuvre.
    À Paris, il a intégré le service de presse des Humanoïdes Associés — maison d’édition fondée en 1974 par Moebius, Jean-Pierre Dionnet, Philippe Druillet et Bernard Farkas —, avant de devenir gérant du label rock indépendant Contorsion.
    De retour à Lyon, il a lancé La Fondation David Turnspoon, une structure culturelle et artistique de conseils et d’aides aux jeunes talents, puis le Festival BD en Beaujolais qui a fêté son 20e anniversaire récemment.
    Depuis, François Riche a été chef de rubrique pour une presse nationale grand public et une autre exclusivement professionnelle, consacrées à la piscine familiale, fort de son expertise dans ce domaine-là.
    Aujourd’hui, il collabore en tant que pigiste pour plusieurs titres et à différents médias : print, Internet, Web TV, agence médias.
    En tant qu’auteur-photographe, François publie chaque jour depuis trois ans, une de ses photos de « l’ordinaire pas ordinaire » sur son profil Facebook, lesquelles remportent un franc succès et ont fait l’objet de plusieurs expositions en salons artistiques et galeries.
    François est également l’auteur de « Chasse à Lachassagne », quatrième enquête policière des aventures de l’Inspecteur Bonnier, personnage créé par Jacques Bruyas. Un nouvel opus sorti depuis peu : « Flash d’Anse à Villefranche ».

    « Chasse à Lachassagne »
    Une sordide affaire d’héritage nécessitant l’exhumation d’un cadavre dans les bois alentours… Opération menant à la découverte de plusieurs corps enterrés là très probablement à la Libération… Puis d’un charnier de squelettes d’enfants augurant d’une affaire sordide et mystérieuse…

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    « Flash d’Anse à Villefranche »
    Longtemps annoncé, longtemps retardé... Mais le voilà l'Jésus, bien joufflu sous sa couverture cartonnée. Ses auteurs, eux, sont loin d'être des ravis de la crèche. Plutôt des gâchettes de la plume qui se nomment Jacques Bruyas, François Riche et Thomas Ravier. Ensemble, ils cosignent "Flash d'Anse à Villefranche" qui marque (enfin) le retour des enquêtes de l'inspecteur Bonnier. "Un polar déjanté et historico-touristique, du Beaujolais à Pérouges, le plus dingue jamais écrit", avoue le créateur de la série Jacques Bruyas.

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    Frank Ledlair

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    Mais qui se cache derrière ce pseudonyme de Franck Ledlair ? Un vrai écrivain, un poète authentique et un conteur en perpétuelle errance dans le monde des mots, des métaphores, des phrases bousculées, des personnages de papier plus vraisemblables que ceux de chair et des observations méticuleusement anecdotiques des travers de ses semblables.
    Véritable entomologiste d'une microsociété des bistrots qui, à l'égal du "Bis Art", n'est pas sans rappeler un Albert Camus de "l'Endroit et l'Envers", philosophe du quotidien... Franck Ledlair est de ces aèdes qui avant de prendre leur envol jettent des miettes de pain aux avions, oiseaux mauves cloués au sol ou voués au vol selon le bon vouloir des hommes... Lewis Caroll n'est pas loin et le temps préoccupe plus l'environnement que l'homme en ces "chroniques de la vallée".
    Bienvenue en absurdie, si semblable à notre ordinaire. Un vrai poète, je vous l'assure, vient de se dévêtir en ces pages et le strip-tease d'un coeur ou d'une âme vaut plus encore que l'exhibition d'un corps... (Jacques BRUYAS)

    « Zone d’ombre »
    Bonnier est dans un petit hôtel modeste, du haut de la rue Myrha,
    sur les pentes de Montmartre. Il repose le bouquin de nouvelles qu’il vient de lire.
    Quel sacré loustic ce Frank Ledlair pense-t-il en lui même ! Il
    a bien retenu notre conversation du Café de Paris, place Kléber,
    qu’il a fidèlement retranscrit dans sa dernière nouvelle Bonnier à Vichy.
    Franck LEDLAIR est un nouvelliste de la trempe de ses grands aînés américains
    et a le don indéniable de savoir décrire scènes comme personnages avec un
    accent de vérité rare et une crudité et cruauté existentielles.
    Sans se départir d’un flegme plus britannique que nature cet écrivain qui n’a
    plus rien à démontrer assure par la présente publication de ses nouvelles un
    clin d’oeil appuyé à l’inspecteur Bonnier, flic de fiction créé par son ami Jacques Bruyas.

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    « Improbables chemins »
    Frank Ledlair, poète, conteur, nouvelliste, auteur de polar, nous offre ici un véritable panel de son répertoire où les mots chantent, glissent sous les notes d’un violon pour un hymne à la nature, au voyage, ou encore dansent la samba dans les « chemins improbables », emportant notre âme vers la félicité. Ce « touche à tout » de l’écrit nous invite à l’évasion, fidèle à l’esthétisme des romantiques unis à l’art, en somme, des chemins très « baudelairiens ». Christelle Fraisse, illustratrice de ce recueil, rencontrée dans un petit village des Monts de la Madeleine, où mon fils rénove une maison familiale, m’a séduit par son enthousiasme, sa fraîcheur et sa générosité, parfaitement adaptés à la poésie. L’idée des croquis de Christelle illustrant mes textes fut une belle réussite. (F. Ledlair) La complicité si naturelle entre les 2 âmes, sans aucune directive, nous donne un résultat évident d’harmonie. Les mots cascadent et s’enroulent autour des croquis, comme emportés par les sens parfois exacerbés dans des « chemins non balisés » où les amours s’enlacent dans une chambre à l’heure de la sieste ou communient sous des cieux ensoleillés. Enfin, concernant l’illustrateur de la 1ère de couverture : Quel rapport entre Guy de Maupassant et Bernard Werber ? Entre « Le Horla » et « Les filles d’Eve » ? Eric Puech, un dessinateur aux multiples facettes. Créateur dont le crayon magique fait naître à l’envie des mondes imaginaires ou bien réels. Merci l’artiste pour ce paysage si irréellement réel qui ouvre ce recueil ...

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    Renaud Donzel

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    Renaud Donzel, a toujours aimé la lecture et écrire, puisqu’il prête sa plume à un hebdomadaire, rédige des articles pour des publications historiques, fréquente assidûment des milieux littéraires lyonnais et connaît de nombreux écrivains. C’est ainsi qu’il a rencontré Jacques Bruyas, qui a créé voici 35 ans, le personnage de l’inspecteur Bonnier. Évoquant le prochain Salon du livre qui se tiendra sous le signe du Polar, ils ont décidé de faire évoluer cet inspecteur dans la cité de Nantua, en 1974, théâtre de plusieurs crimes.
    Vice-président de la Société des écrivains et du Livre lyonnais et rhônalpins (SELYRE), Renaud Donzel est également maire-adjoint aux Affaires culturelles de Nantua, créateur du Salon du livre et auteur de très nombreux articles et études sur sa ville natale et ses environs.

    Après "Quenelle criminelle, ramequin assassin", mon peit doigt me dit que Renaud devrait récidiver !!!

    « Quenelle criminelle, ramequin assassin »
    Quenelle criminelle, ramequin assassin est un roman policier assez particulier, qu’on pourrait définir comme un « polar touristique ». Au gré d’une affaire criminelle impliquant quelques assassins sans scrupules, un faussaire de génie, un mouvement sectaire, un historien plus napoléonien que l’Empereur lui-même, une délicieuse avocate…

     

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    Christian Bellegueulle

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    Auteur dramatique, poète, romancier… Christian Bellegueulle est aussi comédien et metteur en scène et signe avec le présent ouvrage sa première incursion dans le monde du polar.

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    LAWOUTAWI Florence Auror

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    « Me voici retour dans un nouveau registre ( POLAR)...L'un des premiers romans policiers togolais.
    Bonnier est créé par Jacques Bruyas tout comme Sherloch Holmes de Doyle...Depuis sa création Bonnier n'enquête qu'en France...le voilà qui débarque en Afrique et il a choisi le Togo pour ses aventures sans pareille....

    « Bonnier dans les rues de Lomé »
    Jacques Tambigou, le maire socialiste de la ville de Lomé se préparait activement pour sa réélection. Il avait 62 ans et était un grand stratège de la politique. Mais en face, se dressait une dame. Une jeune de 34 ans. Elle était novice en politique mais incarnait l'émancipation de genre féminin. Elle était soutenue par les associations féminines, la jeunesse et son parti républicain. Alors que la ville s'attendait à un vrai duel entre David et Goliath, l'opposante fut assassinée au cours d'un braquage dans la plus grande banque de la ville alors qu'elle venait faire une transaction. Un assassinat politique? Ou elle était au mauvais endroit au mauvais moment? Elle avait plus de 42% des intentions de vote et il ne restait que 3mois avant le passage dans les urnes. Les marches de protestations se succédaient. Beaucoup demandaient la tête du maire sortant. Quarante-huit heures après ce crime odieux, la police traînait encore les pas. Pour trouver l'assassin, et les milliards qui avaient disparu, le maire fit appel aux services de Lucien Bonnier et son équipe. Une nouvelle aventure pour le Sherlock Holmes des temps modernes. Mais cette fois-ci, loin de sa ville natale (Lyon) et de la métropole. Une enquête au fin fond de l'Afrique...
    Ce livre sera présent à la foire du livre d'Attignat dans l'Ain en France où il se confrontera aux meilleurs de la Métropole
    il sera aussi disponible à la foire du livre de Lomé,à la foire de Ouagadougou et aussi au souffle de l'harmattan au Tchad ...

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    FERRARIS Robert

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    autrement dit votre serviteur.
    Alors, juste les photos des couvertures pour l'instant...*

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  • ATTIGNAT - SALON à J - 17....

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    Le Salon est en page 31...
    La page 28 n'est pas mal non plus... Mais c'est l'épisode 2...

    Télé Zapping n°234 Bourg en Bresse