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ATTIGNAT - J - 12

ROSE Célestine

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Rose Célestine c’est un univers très doux et poétique. Elle utilise très souvent l’aquarelle qu’elle affectionne pour ses jeux de transparence. Ses inspirations sont puisées dans l’environnement, la nature et particulièrement les fleurs.
On la retrouve également souvent sur des projets jeunesse dont elle excelle particulièrement.
Ses créations sont toutes réalisées à la main et faites sur mesure en fonction de vos attentes.

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VIEL-GLOTOFF Robert

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J'habite Dijon mais suis né à Dole, dans le Jura, en 1956, au mois de mai, comme mon père, le mois du renouveau, tout un symbole quand on possède du sang sibérien. La terre natale de ma mère, elle, c'était la Pologne, le meilleur ennemi du grand frère russe.
L'année 2004, mon destin bascule alors que rien ne le laisse prévoir... Jusque-là ma vie était un long fleuve tranquille ! Fleuve, j'exagère, plutôt une douce source, devenue torrent, à la suite d'un défi lancé: j'ai voulu faire plaisir à ma famille en retraçant l' histoire de mon père à l'aide d'un stylo, d'une feuille de papier et bientôt d'un carnet chamanique, inconnu, lui appartenant ! Dès l'instant où j'ai pris cette décision, je suis entré dans un monde nouveau fait de passion, de rencontres surprenantes, inattendues et de voyages initiatiques en Sibérie. Ma bonne étoile veillait sur moi et après bien des hésitations, des abandons, « Christophor Glotoff, l'homme du Baïkal » paraissait en mai 2008 puis s'offrait une nouvelle jeunesse en 2014. Sur commande une version russe et anglaise est disponible, mais surtout si un producteur de cinéma était intéressé.... !
Année 2012: trop de bonheur que je dois partager en répondant aussi à l'attente de mes lecteurs : "- C'était comment la Sibérie ?". Paraît alors : « J'irai marcher sur tes terres », qui retrace mon premier voyage en Sibérie, en été 2006, à la recherche de mes racines enfouies dans ces terres gelées !
Huit voyages en Sibérie, tous plus fabuleux les uns que les autres! Est-ce l'esprit des chamans ou l'âme de mes ancêtres "Vieux-Croyants" qui m'ont poussé à venir à votre rencontre? A moins que ce ne soit l'ombre des Décembristes qui m'ait incité à dévoiler à travers "Mes visages" cette culture française, omniprésente en Sibérie que je souhaite vous esquisser ici.
Quand, en 2006, je marchais sur les Terres de mon père, en Sibérie, jamais je n'aurais pensé que la culture française m'y avait précédé depuis près de deux siècles! En juin 2014, lors de mon huitième voyage, je pars pour un nouveau périple, prêt à affronter l'ogre russe sur ses terres mais la francophonie se rappelle à mon bon souvenir...
Elles s'appellent Doucia, Tchita, Valentine...Ils s'appellent Anatoly, Olkhon, Sasha ... Dans mes "Visages de Sibérie" je dresse une galerie de portraits où se croisent tradition et modernité. Découvrez un monde inattendu où se côtoient chamans et « Vieux Croyants, âmes de mes ancêtres, et jeunesse éprise de culture française. Paru le février 2016, période plus froide sur les terres de mon père.

« L’homme du Baïkal »
Robert VIEL-GLOTOFF retrace la vie hors du commun de son père, Christophor Glotoff, né en 1913 au bord du lac Baïkal, en Sibérie.
Ce récit est un hymne au parcours exceptionnel du père mais également un vibrant hommage au peuple sibérien. Doué d’un véritable « art de la débrouille » doublé d’une « chance exceptionnelle qui [le] protégea toute [sa] vie », Christophor est chassé de la ferme familiale à 14 ans, en 1927. Sa vie devient alors une suite d’aventures. Courageux et rebelle au jeune pouvoir soviétique, il n’est pas fait pour vivre enchaîné. Son destin est ailleurs. Tantôt bûcheron dans l’Oural, trafiquant, chercheur d’or, tantôt commis de ferme, il se retrouve prisonnier à Mourmansk, au bord de la mer de Barents, près de la Finlande, sur un gigantesque chantier, bagnard condamné à travailler dans un froid atroce.
Soldat de l’Armée Rouge, il est mobilisé lorsque l’URSS est attaquée par l’Allemagne nazie. Fait prisonnier des Allemands, il se dit Ukrainien et endosse l’uniforme allemand pour survivre. Il est ensuite envoyé en France et arrive à Montbard, en Côte-d’Or, durant l’été 1943. Devant les sabotages organisés par la résistance locale contre les troupes d’occupation, Christophor décide de rejoindre la Résistance française. Il participe, mi-septembre 1944, à la libération de Pierre-de-Bresse (Saône-et-Loire). La paix signée, il n’en demeure pas moins citoyen soviétique. Staline exige que les soviétiques regagnent la mère patrie. Christophor refuse. Il signe alors un contrat d’engagement comme mécanicien dans l’armée américaine d’avril à octobre 1945, et combattra devant Berlin contre les derniers soldats restés fidèles à Hitler.
A l’issue d’une vie héroïque, il s’installe définitivement en France, et fonde une famille avec une épouse d’origine polonaise.
Il est parti rejoindre le Paradis des Vieux croyants en 2010, à l’âge de 97 ans. Il n’obtint la nationalité française qu’à 90 ans.
Artisan d’un profond travail de mémoire, Robert VIEL-GLOTOFF retrace l’épopée de son père, à travers un récit aussi remarquable que la vie de Christophor Glotoff. L’ouvrage est disponible aux éditions du Murmure.
Remerciements à Christiane et Dominique BARBE de l’Hôtel Vauban, à Avallon, qui nous ont accueillis pour l’enregistrement de cette émission dans leur établissement.

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WLASSEWITCH Joel

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Né en 1989 avec une Trisomie 21, Joël Wlassewitch est passionné par l’écriture autobiographique qui l’aide à réfléchir. Il écrit son premier Livre : « 27 Années de joie et d’amour » qui raconte sa vie. Après une scolarité et une formation professionnelle toujours en milieu ordinaire, il a obtenu le diplôme d’Auxiliaire de Bibliothèque. Il aimerait trouver un emploi dans ce domaine de préférence.
Conscient de son handicap et de ses limites, il est heureux et positif. Il est passionné par l’écriture, ce qui bouscule les représentations stéréotypées que nous avons généralement des personnes avec trisomie. On peut à la fois être déficient intellectuellement et aimer lire et écrire.
Enthousiaste, il nous fait partager sa vie dans ses 27 premières années avec un brin de fierté.
Il démontre s’il en est besoin qu’il est très important qu’on discute avec lui et qu’il ait sa place dans tel ou tel groupe.
C’est ce qu’on appelle l’inclusion et ce livre prouve que c’est l’affaire de chacun d’entre nous.

 

TRONTIN Pierre

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« Un jour viendra la moisson »
Avec ce nouvel ouvrage, Pierre Trontin, né en 1938, prend le parti de témoigner d'une époque de transition fondamentale pour les jeunes ruraux d'alors. Et, notamment, de la souffrance des mauvais élèves réputés "bons à rien". Pour avoir subi les délires cyniques d'un enseignant dont il a été la "tête de turc" durant sa première année scolaire, il a connu lui-même l'humiliation des cancres voués à la disgrâce ; puis, le parcours du combattant de la résilience pour tenter d'exister, compenser les sentiments d'infériorité.

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TRANCART Marie France

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Marie-France Trancart est née à Maidières en 1954, dans une famille nombreuse et de condition modeste. Elle y a passé toute sa jeunesse, avant de partir sur Nancy pour débuter sa carrière professionnelle dans le notariat. Depuis plus de 15 ans maintenant, elle habite dans l’Ain, à une vingtaine de kilomètres à l’est de Lyon.
C’est cette distance, et sa retraite, qui lui ont permis d’écrire un premier livre, un recueil de souvenirs dans lequel elle revient sur son enfance et ses jeunes années, jusqu’à son entrée dans la vie professionnelle. L’ancienne Maidiéroise y raconte le goût incroyable des choses pourtant simples, comme le quignon de pain chipé dans la besace du papa rentrant des Fonderies, ou la grenadine bue au café du village – la famille comme beaucoup n’avait pas la télévision – où la petite fille accompagnait son papa pour regarder La Piste aux étoiles les mercredis soir. Il y a aussi la chambre « dortoir » que les plus jeunes frères et sœurs se partagent.
Quiconque a grandi dans une famille ouvrière de l’époque, et qui lira ce livre, y retrouvera ses propres souvenirs, comme l’intransigeance de certains professeurs, les orientations scolaires non choisies, les brimades quelques fois : « Moi-même, j’ai été orientée vers un métier que je ne souhaitais pas », explique l’auteure. « Je suis pourtant restée 34 ans dans le notariat, alors que j’aurais voulu être enseignante. »
C’est pour cela que Marie-France a voulu écrire ce livre, pour témoigner de cette époque, et pour exprimer ce qu’elle n’a pas pu dire alors. Son ouvrage, intitulé « Rue Alfred-Songeur, de Maidières à Nancy », elle l’a notamment offert à une de ses institutrices, âgée aujourd’hui de plus de 80 ans, et qui habite toujours Maidières : « Je suis retournée la voir, quarante ans plus tard », explique Marie-France avec émotion. « Et depuis, on correspond régulièrement. Même si j’habite loin désormais, je reviens régulièrement dans la région. »
Marie-France a fait publier son livre à son compte, et en a laissé quelques exemplaires à la librairie « Papier-Cadeau » place Duroc à Pont-à-Mousson. Le libraire le propose au prix de 17 €. À ce prix-là, le lecteur est assuré de se prendre une bouffée de souvenirs des années 60 - 70.

 

VINCENT Joëlle

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Après une maîtrise de lettres modernes à l’université Lyon II, j’ai fait une carrière de conceptrice rédactrice publicitaire. Puis, j’ai fait trois ans d’enseignement de français, juste assez longtemps pour savoir que ce métier ne me convenait pas.
Puis, j’ai écrit six romans, trois recueils de poèmes, deux livres d’art où mes poèmes illustraient les toiles d’une de mes amies, peintre de renom et aussi un petit illustré.

« Une fenêtre sur l’éternité »
A l’instant précis où elle posa le pied sur le sol de cette maison de Montmartre, Léa eut l’intuition qu’elle avait rendez-vous avec son destin. Il est, dans l’existence, des moments où l’on pressent que ce qui nous est offert à vivre est exceptionnel, marquera notre existence à jamais et que toutes les heures qui suivront en dépendent. Ce jour là, le destin voulait entrer en contact avec Léa, ce livre a décidé de vous raconter cette fabuleuse rencontre.

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« Lucidité post-mortem »
Conçu par accident, Denis peine à trouver un sens à sa vie.
Peu de temps avant son décès, il décide de devenir donneur d’organes et sa demande est enregistrée.Mais au moment de son ultime seconde, il conserve une lucidité intacte.
Conscient de tout, il va suivre le destin de quatre morceaux de lui-même à travers la vie de leurs receveurs.
Va-t-il profiter de ce supplément de durée que la fatalité lui impose pour découvrir enfin le sens de sa vie? Il n’est pas facile de voir quatre inconnus transporter et utiliser des parcelles de soi-même; Denis sera-t-il à la hauteur de cette fabuleuse aventure?

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« La mort de Juliette »
Un jeune homme, rendu fou de douleur par la disparition de celle qu’il aime, contourne son chagrin en suivant les chemins de la haine et de la folie. Il cherche des coupables, en trouve et les punit de façon bien étrange.
La mort que Shakespeare inventa pour sa Juliette va inspirer notre héros qui, pour son malheur, connut la même passion que les fameux amants de Vérone.

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« La dette »
Condamné à quatre ans de prison fermes pour un crime qu’il n’a pas commis, un homme se venge de son accusatrice de la manière la plus inattendue. Oeil pour oeil. Quatre ans d’enfer pour quatre ans de calvaire : la vengeance est si parfaite que l’on en finirait pas chercher la victime !
Humour, action et coups tordus sont une recette imparable pour fabriquer des remords chez le bourreau le plus déterminé.

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« Vérité volée »
L’existence chaotique d’un être privé d’identité qui traîne à longueur de beuveries un secret bien trop lourd . Et, à ses côtés, une femme, éperdue qui tente de démêler l’écheveau de la nasse infernale qui l’emprisonne.
Secret de famille, non-dits, meurtres et mensonges sont autant d’obstacles qu’elle devra surmonter pour rendre à l’homme qu’elle aime, sa vérité.

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« Le prix de la beauté »
Marc Tudor, chirurgien esthétique, reçoit un jour, en cadeau du ciel, le don de transformer les hommes et les femmes les plus laids en divines créatures. Malheureusement dans sa jeunesse, il a, par jalousie, défiguré la femme qu’il aimait. Il a vingt ans pour réparer sa faute. Passé ce délai, il perdra son don et tous ceux qu’il au opérés, reviendront à leur état initial. Parmi les patients du professeur, on suit le combat de quatre jeunes femmes, confrontées à la laideur, et qui vont connaître, grâce à Tudor, le bonheur absolu, puis vivre le cauchemar de tout perdre. Parviendront-elles à lever la malédiction Tudor et à retrouver leurs rêves engloutis?

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« La voix de mon chien »
J’ai écrit ce livre pour toi mon Maxou, ma petite boule de poils, toute faite d’amour et de fidélité. Si tu savais Maxou comme il est difficile de faire comprendre à ceux qui ne voient dans les chiens que des faiseurs de crottes et des nuisances urbaines, le tendre lien qui peut se tisser entre un humain et un chien ! Si je t’ai donné la parole, c’était pour te faire vivre encore un peu après ton départ qui me fit tant de peine. Je voudrais te dire, Maxou que, tout petit toutou que tu étais, moi, humaine que je suis, je ne t’oublierai jamais.
Merci d’avoir existé pendant ces huit années de complicité.

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SESTIER Bernard

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Après des études assez courtes, je suis rentré dans la vie active à l’âge de 15 ans. La plus grande partie de ma vie professionnelle s’est déroulée dans le Bâtiment- travaux publics, à différents postes et principalement dans le Service Matériel.
J’ai terminé ma carrière par dix ans passés à la sécurité sur les chantiers, en qualité d’animateur. J’ai pris ma retraite à 57 ans.
J’ai toujours été un amoureux de la montagne. J’ai pratiqué le ski depuis mon plus jeune âge, surtout en randonnées, et d’autres sports comme le vélo, le canoë et la voile.
A ma retraite j’ai éprouvé le besoin d’écrire. Dans un premier temps des poèmes pour dire ce que j’avais sur le cœur. J’écris ce que je ressens, rien ne me laisse indifférent, mais avec l’idée d’un roman. J’ai été marqué par Pagnol, Giono, Michelet, John Steinbek, Claude Michelet, Pierre Magnan et bien d'autres. Avec une grande attirance pour la Provence. Je fais aussi quelques sculptures sur acier que j'expose.

« La légende de la fontaine du vieil homme » - Ed Sciriolus 2008
Ce quatrième roman se déroule en 1930, dans le milieu rural dauphinois, avec un retour sur la grande guerre. J’ai voulu, une fois de plus, faire vivre mes personnages dans de petits villages de la France profonde, associant une tendre histoire d’amour à une intrigue policière aux rebondissements inattendus. L’enquête est conduite par un moine Chartreux pour le moins perspicace, et, comme d’habitude, certains personnages n’engendrent pas la mélancolie.

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« La grange du papé meunier » - Ed De Beauregard 2010
Pour ce roman, j’ai choisi la magnifique région du Lubéron dans les années 50, et toujours dans le milieu rural. Une vieille histoire ressurgit dans un village, pourtant d’apparence bien tranquille. Une jeune femme revient sur des lieux qui lui sont inconnus, où, pourtant, une tragédie la concernant s’est déroulée. Des meurtres sont commis… Les dialogues sont le reflet de ces hommes de la campagne des années passées, dur au travail et amoureux de la terre.

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« Saint Sixte le Lac, un paisible petit village ? » - Ed De Beauregard 2013
Le hameau de Saint Sixte a un passé très mouvementé. Cette localité fut le séjour des Druides, des Burgondes et des Gallo-Romains. Dans les alentours, on peut voir des dolmens, des menhirs et autres pierres druidiques de sacrifice humain. A nouveau, des cadavres sont retrouvés, est-ce le retour des Druides ou la folie meurtrière d'un tueur en série ? D'une vengeance ? Réapparaît le moine Chartreux, Frère Etienne ( voir La Légende de la Fontaine du vieil homme) qui va mener là sa deuxième enquête. C'est l'intrigue, l'amour, la vie paysanne.

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« La fourche, la faux et le goupillon »
Dans mon septième roman, Frère Étienne (le Moine Chartreux) va à nouveau vous entraîner dans son sillage. Des personnages très différents : une aristocratie orgueilleuse et dominatrice, le combat de paysans exploités. Il y a aussi des personnages pittoresques qui n'engendrent pas la mélancolie. Dans ce milieu des années trente, le crime d'un chanoine va ouvrir la boîte de Pandore.

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