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  • ATTIGNAT - J - 19

    Nicolas BAILLENCOURT

    De la lecture à celle de l’écriture, il n’y a qu’un pas. Dès l’âge de 12 ans, Nicolas écrit ses premières histoires. D’un genre tout d’abord narratif, axé sur les univers imaginaires, ses écrits de collèges sont clairement imprégnés de la littérature fantasy et fantastique de cette époque de sa vie. Le garçon prend l’habitude de partager ses écrits avec son meilleur ami, François, également passionné de littérature et d’écriture imaginaire.
    Dès ses 14 ans, se plongeant dans les classiques français et européens, la philosophie ainsi que la poésie, il met entre parenthèses ses premières passions pour s’expérimenter à des genres qu'il découvre. Des nouvelles et poèmes reflétant tour à tour ses pensées, ses état d’âme ou encore ses réflexions se succèdent durant ses années lycée. Il participera notamment à quelques concours de poésie et d’écriture de nouvelles. « Tout est de leur faute », nouvelle portant sur un amour impossible entre deux jeunes Parisiens durant l’occupation allemande, finira dans les favoris d’un concours mais ne recevra finalement aucune récompense sinon celle d’être publiée parmi une sélection de textes. Deux de ses poèmes seront également sélectionnés et publiés dans le cadre de ces concours lycéens.
    Durant ses premières années d’études en région parisienne puis à Besançon, Nicolas écrira beaucoup mais produira peu.
    Ce n'est que pendant sa troisième année de licence qu'il entame l’écriture d’un cycle complet d’aventures sur plusieurs volumes se déroulant dans un monde issu de son imagination. Il s'agit d'un projet colossal pour Nicolas mais, à force de patience et de persévérance, près d’un an et demi plus tard, le monde de Nezubse est créé.
    Il n’existe alors que sous forme de cartes, d’ébauches, de fiches et d’idées reliées les unes aux autres jusqu’à créer le noyau d’une intrigue de laquelle partent de nombreuses ramifications. A force de détailler ses idées, il se met finalement à écrire sans en prendre réellement conscience. Des pans entiers du récit, des passages de l’histoire se retrouvent ainsi couchés sur le papier sans aucune chronologie.
    Nicolas commence alors l'écriture du récit en temps que tel. Ainsi, après deux années à noircir des feuilles et grâce à sa femme Isabelle (également écrivain) qui l'a toujours soutenu, qui a procédé à de nombreuses relectures et avec laquelle il a longuement pu partager et discuter, le premier tome des aventures de Taëk : "Le Sceptre Nythahâne" est terminé.

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    « Les chroniques de Nezubse »
    De retour du Kedhba, Taëk et ses compagnons se voient remettre le statut de «Bienfaiteur de la Confédération» par le Parlement Sináréen.
    Cependant, de lourdes responsabilités incombent à ce rang. Tiraillé entre ses différents devoirs envers la Confrérie et la Confédération, le jeune homme va vite ressentir le besoin de prendre en main son destin. S’il ne peut choisir la place qu’est la sienne, il entend bien avoir toute latitude quant à la manière de mener à bien les missions qui lui sont dévolues !
    Hanté par l’énigmatique Antésienne et habité d’un profond désir de la rencontrer, il ira jusqu’à user de ses obligations afin de la retrouver, au risque d’impliquer ses compagnons dans des choix déraisonnés.

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    Lancée dans la quête effrénée du sceptre nythahâne, la compagnie va pourtant devoir se montrer prudente, car d’étranges assassins les talonnent de près. Des cimes enneigées d’Hägrabönze, aux secrets ensevelis sous les sables d’Harmony, tantôt acclamés par la foule, tantôt contraints de feindre leur propre mort, un trajet tortueux les attend.
    Parviendront-ils à récupérer l’artefact avant que les écumeurs ne dévastent les côtes septentrionales ? Jusqu’où Taëk sera-t-il prêt à aller pour retrouver l’Antésienne ? Qui peut bien souhaiter leur mort ? Et pour quelle raison ?
    Dans le même temps, des prophéties des premières ères et des mythes oubliés ressurgissent du néant. Nezubse n’en a pas fini de révéler ses nombreux mystères…

  • ATTIGNAT - J - 19 (suite)

    ARNOUX Sylvie

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    Sylvie Arnoux est diplômée de l’École Supérieure de Commerce.
    Elle a travaillé dans le tourisme et l’édition avant de se consacrer à l’écriture. Elle est auteur de romans et nouvelles, elle écrit également pour les enfants.
    Paru aux éditions Kirographaires en octobre 2011, "Mamy Grand" est son premier roman.
    La spécificité de ses publications jeunesse est d’être accessible aux lecteurs dyslexiques.
    Sylvie Arnoux réside à Lyon.
    - son site: http://sylviearnoux.wix.com/auteur
    - sa page Facebook : https://www.facebook.com/sylviearnoux.auteur/

    « La guerre de Louise »
    La guerre de Louise 1914-1921 nous entraîne cette fois dans un des recoins les plus sombres de cette période : la déportation de civils en 1914.
    Le projet de Sylvie Arnoux ne pouvait que nous interpeller. Tout d'abord par le sujet : le parcours de femmes et d'enfants. Ensuite, par le défi. Comment articuler ces histoires intimes au grand récit de la Première Guerre mondiale ? Même inédits, ces témoignages semblent bien modestes au regard de l'Histoire et de la Politique.
    Le désir de raconter la Grande Guerre en dehors de ses aspects purement militaires est aujourd'hui largement partagé. C'est ce qui nous conduit à la publication de ce livre. La Der des Ders qui, dans la conscience de générations de Français s'était arrêtée avec l'Armistice, est désormais étudiée sous une multitude d'angles. À travers des sujets comme l'histoire des femmes au travail, des familles, des couples, ou de la reconstruction des régions dévastées, on découvre aujourd'hui les multiples conséquences de ce conflit mondial, au-delà de la date du 11 novembre 1918. Et c'est bien grâce aux travaux de chercheurs comme Annette Becker que des pans oubliés de l'Histoire, comme les déportations, sont mis aujourd'hui en lumière.
    UN RÉCIT DOCUMENTAIRE... À PLUSIEURS VOIX

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    Le récit de Louise Collignon, s'il est le fil conducteur de ce livre, ne rend pas compte, à lui seul, de la réalité de tous les déportés de ces villages lorrains pendant la guerre. Les parcours ont été multiples, et c'est autour de cette diversité que l'auteur a choisi d'articuler son travail.
    Nous l'avons suivie. Par conséquent, si la chronologie lui a été dictée par les carnets de Louise, la présentation des histoires parallèles des autres prisonniers permet de prendre la dimension du bouleversement intervenu dans des milliers de vies. C'est ainsi que les coups de projecteur sur telle ou telle situation : les hommes jeunes, les vieillards, les militaires, les abbés, les Allemands même — qu'ils soient témoins ou acteurs — participent tous de la même démarche : rendre visible.
    Pour cela, il fallait des images. À l'abondante iconographie, tant française qu'allemande collectée par Sylvie Arnoux depuis des années, se sont ajoutées des photos de terrain prises dans les pas de Louise : La Lorraine, la Bavière, la Drôme... Car effacées, ces histoires le sont tout autant dans le paysage. Si, un siècle après, les champs de bataille de la Meuse montrent toujours leurs cicatrices, dans les villages reconstruits, de nombreuses victimes civiles manquent toujours à l'appel sur les monuments aux morts.

    « Pas beurk les légumes »
    Résumé de la 4eme de couverture :
    Il était une fois un jeune garçon qui n’aimait pas les légumes. Devant les petits plats cuisinés avec amour par sa maman, il répétait sans cesse :
    « Beurk des légumes ! »
    Grâce à cette histoire pleine d’humour, découvrez comment rendre les carottes, blettes, courgettes, navets… appétissants. Le livret de recettes à la fin de l’album surprendra les petits comme les grands. Pour ne plus jamais entendre :
    « Beurk des légumes ! »

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    « Capricieux 1er »
    Il était une fois, dans un pays lointain, un château magnifique dans lequel vivaient un roi, une reine et leur fils.
    Tout aurait été parfait si le roi n'avait eu la fâcheuse habitude de piquer de grosses colères quand on osait lui dire NON.
    Lui seul avait le droit d'utiliser ces trois lettres. Pas étonnant, me direz-vous, quand on s'appelle Capricieux 1er ?
    Livre en police adaptée aux dyslexiques

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  • ATTIGNAT - J - 19

    ANGLEDROIT Cicéron

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    Cicéron Angledroit, alias Claude Picq, est né fin 1953 à Ivry sur Seine (94) et a toujours vécu en banlieue parisienne.
    Il a été poursuivi, péniblement, par les études (faute de les avoir poursuivies lui-même) jusqu’au Bac et est aussitôt entré dans la vie active par la voie bancaire (secteur qu’il quitte avec joie en 2016).
    Comme tout un chacun il a fondé une famille, puis une autre. Il traverse son temps avec une forte conscience de sa brièveté et s’étonne chaque jour de la vacuité humaine. Les règles, la hiérarchisation de la société, les croyances sont pour lui autant de notions insondables quand il se replace dans cet univers sans fin et ce temps sans limites qui lui servent de décor.
    Très tôt il a eu goût pour la lecture. Notamment les romans. Tout y passait, Céline, Dard, Malet et bien d’autres. Et très tôt aussi il a ressenti le besoin d’écrire.

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    Mais ses velléités littéraires ont été longues à aboutir. Un premier roman en 1994 (Les cinq doigts de Dieu) où il règle ses comptes pêle-mêle… Et puis cinq autres depuis (« Sois zen et tue-le », « Nés sous X » et « Fallait pas écraser la vieille », « Riches un jour, morts toujours » et « Qui père gagne ») dans lesquels il utilise l’humour pour exprimer ses quatre vérités sans esprit revanchard (a-t-il une revanche à prendre d’ailleurs ?).
    Ces cinq derniers romans se complèteront très prochainement de : « Hé cool, la Seine ! » qui devrait sortir en février 2017…

    « Hé ! Cool, la Seine »
    On a beau être dans le Val de Marne, c’est quand même la Seine la patronne ! Alors embarquez sans plus attendre pour une croisière entre Ablon et Vitry qui vous fera croiser, tout à tour, un noyé sans bec verseur (ou serveur selon la circonstance) et un producteur de télé qui disparaît et réapparaît sans crier gare. Quand vous saurez que le vieux a confié sa première enquête en solo à Vanessa, que Momo émarge à la Cotorep, que René a trop levé le coude, vous vous demanderez si, désormais, je me contente d’un rôle de figurant. Y’a de ça mais pas que. Vous y découvrirez les dessous du showbiz et les dessous de la mère de mon frère. Ça vaut le détour, croyez-moi ! Et je suis sûr que, comme moi, vous aurez envie d’y retourner. Alors, tous en Seine !

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    « Sois zen et tue-le »
    Mais qu’est-ce qu’il lui prend, à la mère Costa, de me demander d’enquêter sur le mort de son mari enterré depuis dix ans ? Si j’accepte c’est bien parce que j’ai besoin de sous. Et puis il y a cette histoire de truands de banlieue qui explosent à chaque coin de rue. Et ces SDF qui n’en sont pas. Ajoutez une ou deux femmes mariées, un Yorkshire… mélangez le tout et dégustez ! Mais c’est qui qui tue ? Pour le savoir il va falloir me suivre, moi Cicéron Angledroit, jusqu’au bout de cette histoire.

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    « Né sous X »
    Cicéron Angledroit est détective privé en banlieue parisienne. Quand il ne croule pas sous les affaires, ce qui est régulièrement le cas, il partage son temps entre sa fille et ses maîtresses. Mais voilà, tout à coup, il se retrouve avec deux dossiers sur le dos. D’un côté, une sombre histoire de flics pas très honnêtes, de l’autre, un mystère autour d’une naissance… Avec son flegme et son humour légendaires, Cicéron mène l’enquête.

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    « Fallait pas écraser la vieille »
    Quand un banal, mais tragique, accident de la route met le feu aux poudres entre deux mafias qui ronronnent chacune dans son secteur, qui est-ce qui s’y colle ? Eh ben mézigue évidemment ! Une histoire qui fait des étincelles dans la banlieue et qui va vous persuader que des hommes tels que moi, il en faudrait davantage. Si, si, croyez-moi. Pendant que les nouveaux migrants essayent de s’intégrer, les déjà intégrés prospèrent (Youplala). Vive la diversité sans laquelle on s’ennuierait ! Un petit coup de pied dans la fourmilière, c’est bon pour chasser les habitudes. Suivez-moi, on y va !

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    « Qui père gagne »
    Se savoir « né de père inconnu », comme on dit, et retrouver, quelque 40 ans plus tard, cet inconnu fracassé sur sa table de cuisine, c’est tout Cicéron, ça ! Découvrir que René a une maîtresse, ça décoiffe aussi pas mal. Quant à ces honnêtes commerçants en articles de souvenirs pieux « made in China » que viennent-ils faire dans cette embrouille ? Vous mourez d’envie d’en savoir plus ? Eh ben ça tombe vraiment bien car tout est dans ce formidable bouquin qui ne vous tombera des mains qu’une fois terminé.

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    « Riches un jour, morts toujours »
    Lorsqu’un couple de personnes âgées se retrouve en possession du butin de trafiquants de drogue, ce n’est pas vers la police qu’il se tourne, mais vers un détective bien moins regardant : l’inénarrable Cicéron Angledroit. Et cette fois-ci, le privé, loin de se douter où il met les pieds en acceptant l’affaire, en perdrait presque son flegme légendaire. C’est la première fois qu’il rencontre une telle violence…
    Cavale, faux semblants, meurtres… Le puzzle est tordu et riche en surprises, tour à tour grave et décalé, irrésistible, à l’image de notre héros.

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